Tome 6 : Mortelle seduction
TITRE: Danse Mortelle (Titre de Fleuve noir) – Mortelle Séduction (Titre de Milady)
AUTEUR: Laurell K. Hamilton
EDITEUR: Fleuve Noir et Milady
RESUME:
A ma gauche, Richard. Le type le plus adorable du Monde : brun aux yeux chocolat, prof de sciences et passionné de randonnée. Nous sommes fiancés. Seul problème : une fois par mois, il se couvre de poils et hurle à la lune.
A ma droite, Jean-Claude. Le type le plus horripilant du monde : un regard bleu marine hypnotique, un statut social qui en ferait rêver plus d’une et un magnétisme sexuel démentiel. I l me fait du chantage pour que je sorte avec lui. Et ça ne m’ennuie pas autant que je le voudrais. Seul problème : il a plus de deux siècles.
Face à moi, un immortel atteint par une mystérieuse maladie qui le liquéfie sur pattes. Et quelque part derrière moi, un assassin à qui un commanditaire inconnu a promis un demi-million de dollars s’il réussissait à m’abattre sous vingt-quatre heures. Bref, je suis cernée par les ennuis. Il y a des jours comme ça où on ferait bien de rester au lit… Seule. Cette fois. c’est sûr, je ne m’en sortirai pas indemne.
NOTRE AVIS:
Anita Blake, chasseuse de vampire, est-elle elle-même une femme chassée maintenant ? Qui a mis 500.000 dollars de prime sur sa tête ? Un homme ou un monstre?
Et ce n’est pas seulement sa propre peau qu’elle a besoin de sauver. La rivalité entre son petit ami loup-garou, Richard, et Marcus, l’autre chef loup-garou du clan, est un véritable absés prêt à exploser. Et il y a toujours Jean-Claude, le vampire qui attend juste le bon moment pour se glisser à l’intérieur de la tête d’Anita et de son coeur. Hamilton vous réserve encore quelques surprises.
Un Groupe à trois?
» Si je ne savais pas que vous m’aimiez, ce serait plus facile, » a t’il dit. » S’il n’y avait pas ce damné vampire, vous m’épouseriez « .
» Ce damné vampire nous a présentés, » dis-je.
» Et il le regrette » dit Richard .
Je l’ai regardé. » Comment est-ce que tu sais cela ? »
Il a secoué sa tête. » Tout ce qu’il suffit de faire, c’est de voir son visage quand nous sommes ensemble »